mercredi 13 mars 2013
mardi 12 mars 2013
Le mobile de Lisa
Lisa a reçu il y a quelques semaines un joli mobile en cadeau, de son tonton Olivier et sa tata Dalila.
Nous l'avons installé au dessus d'elle dans son lit, et elle l'a tout de suite aimé.
Son intérêt ne s'émousse pas avec le temps. Au contraire, elle continue à l'observer dès qu'on la place dessous et qu'on le met en marche.
La musique de Brahms est un tube des berceuses d'enfants, pas choisie par hasard sans doute. C'est la musique du petit ange tourneur...
Nous l'avons installé au dessus d'elle dans son lit, et elle l'a tout de suite aimé.
Son intérêt ne s'émousse pas avec le temps. Au contraire, elle continue à l'observer dès qu'on la place dessous et qu'on le met en marche.
La musique de Brahms est un tube des berceuses d'enfants, pas choisie par hasard sans doute. C'est la musique du petit ange tourneur...
Musique: Conan le barbare
Il y a quelques années, j'étais complètement accro aux musiques de film. Pour moi, il s'agit tout simplement de la musique classique moderne. Mieux qu'une peinture, mieux qu'une image, c'est quelque chose de vivant qui nous transporte et nous fait rêver. Certains films à succès n'auraient sans doute pas été les mêmes sans leur musique.
L'une des BO qui m'a le plus marqué (ce n'est pas la seule, et j'écrirai d'autres posts à ce sujet), est celle de Conan le barbare (certains diront peut être Connard le Barbant...). Le film est plutôt bon, quoiqu'en lui même il n'est pas parmi mes préférés.
Mais si on tient compte de la musique, et notamment la suite orchestrale des 20 premières minutes du film, ou Conan grandit, s'échappe, trouve son épée Atlantéenne, il prend une autre dimension.
La BO, dans sa version longue, dure 67 minutes. Elle s'étend d'un registre épique (Riders of doom, Battle of the mounds, the Orgy), nous raconte une histoire (Gift of fury, Wheel of pain), nous décrit de grand paysages (The leaving/The search), devient romantique (Wifeing), et souvent mélancolique (Orphans of doom, Atlantean sword, Funeral pyre...). Elle n'a pas vieilli et traverse les années avec bonheur. Je l'écoute encore régulièrement et toujours avec le même plaisir, alors qu'il y a des années que je n'ai plus vu le film.
Son compositeur, Basil Polédouris, ancien apprenti cinéaste américain d'origine grecque, a certainement signé là son chef d'oeuvre. Il écrira de nombreuses autres BO, que je ne connais pas hormis deux (Space Troopers et l'Adieu au Roi) qui sont très belles, mais pas aussi riches que celle-ci. Il est malheureusement décédé des suites d'un cancer en 2006, paix à son âme.
Extrait: The leaving / The search
L'une des BO qui m'a le plus marqué (ce n'est pas la seule, et j'écrirai d'autres posts à ce sujet), est celle de Conan le barbare (certains diront peut être Connard le Barbant...). Le film est plutôt bon, quoiqu'en lui même il n'est pas parmi mes préférés.
Mais si on tient compte de la musique, et notamment la suite orchestrale des 20 premières minutes du film, ou Conan grandit, s'échappe, trouve son épée Atlantéenne, il prend une autre dimension.
La BO, dans sa version longue, dure 67 minutes. Elle s'étend d'un registre épique (Riders of doom, Battle of the mounds, the Orgy), nous raconte une histoire (Gift of fury, Wheel of pain), nous décrit de grand paysages (The leaving/The search), devient romantique (Wifeing), et souvent mélancolique (Orphans of doom, Atlantean sword, Funeral pyre...). Elle n'a pas vieilli et traverse les années avec bonheur. Je l'écoute encore régulièrement et toujours avec le même plaisir, alors qu'il y a des années que je n'ai plus vu le film.
Son compositeur, Basil Polédouris, ancien apprenti cinéaste américain d'origine grecque, a certainement signé là son chef d'oeuvre. Il écrira de nombreuses autres BO, que je ne connais pas hormis deux (Space Troopers et l'Adieu au Roi) qui sont très belles, mais pas aussi riches que celle-ci. Il est malheureusement décédé des suites d'un cancer en 2006, paix à son âme.
Extrait: The leaving / The search
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